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Arsène Barzen a fait le choix de protéines de proximité et non OGM
Arsène Barzen est installé sur une ferme familiale à Herborn au Luxembourg. Il partage son activité entre l’élevage laitier, la culture des céréales et une activité de distillerie.
Son troupeau est composé de 85/90 vaches laitières et sa production annuelle est de 750 000 litres de lait livrés à la laiterie Arla.
La même ration est distribuée toute l’année, une fois par jour à la mélangeuse. Elle est complétée toutes les heures par un petit robot qui distribue l’aliment.
La ration annuelle :
20 kg ensilage herbe
15 kg ensilage maïs
2 kg de céréales de la ferme
1 kg de SLX 25
+ minéraux
+ correcteur azoté au robot (1 kg par 2,5 l de lait).
Arsène Barzen a fait le choix de nourrir ses vaches avec des protéines de proximité. Il a d’abord substitué le soja d’importation par du colza puis par du SLX 25, des produits de la « région ».
« Aujourd’hui les 2/3 de la protéine que je donne à mes vaches est apporté par le SLX 25 ».
Arsène Barzen privilégie les circuits courts. Sa production est achetée par des gens de la région et il lui semble logique et naturel de privilégier des approvisionnements de « matières premières qui n’ont pas fait des milliers de km ».
Au début quand il a remplacé le soja par le SLX, il y avait moins de protéine dans la ration, mais maintenant il a trouvé un bon équilibre.
Depuis 2-3 ans il a basculé vers des approvisionnements non OGM. Et depuis 1 an, il est accompagné dans sa démarche par sa laiterie Arla qui verse 1 ct de plus au litre de lait (10 euros/1000 l) aux éleveurs qui achètent des aliments non OGM, comme le SLX.
Piet Van Luijk, négociant et producteur d’aliments non OGM au Luxembourg, accompagne Monsieur Barzen dans ses achats : « il a été très content quand on a pu lui proposer le SLX 25, pour remplacer le soja ou le colza et apporter de la protéine dans sa ration. Le SLX 25 avec la luzerne, la pulpe et la drêche de blé apporte beaucoup de protéines, il améliore bien sa ration ".
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Julien Prud’Homme, âgé de 33 ans, est producteur de lait à Penvénan dans les Côtes d’Armor (22). Installé depuis 9 ans en polyculture élevage, il élève 60 Prim’Holstein et a une activité maraîchère en parallèle. Il conduit ses vaches en système d’élevage intensif avec une moyenne de 10 000 L par vache, sa production annuelle est passée de 284 000 L à 600 000 L.
Son objectif : maximiser la production de lait par vache sans mettre en péril la santé de ses animaux, et le RUMIPLUS l’aide à obtenir ce résultat.
Situé à 1,5 km de la mer où l’hygrométrie est élevée, il est difficile de réussir à ramasser dans de bonnes conditions et de faire sécher le foin. Il a donc structuré son exploitation pour faire un maximum de lait sur le minimum de surface par vache, et il complète par la culture de choux -fleur, intéressante en termes de rotation et de marge.
Avec peu de terres dédiées aux fourrages, il complète sa ration à base d’ensilage de maïs par la luzerne déshydratée brins longs, RUMIPLUS. De qualité homogène toute l’année, le RUMIPLUS est apporté directement sur l’exploitation sans se soucier du climat et de la récolte.
Il utilise RUMIPLUS pour l’effet mécanique de la fibre grâce à ces brins d’environ 5 cm, et aussi pour son effet azoté, la luzerne est reconnue pour maximiser le fourrage de l’exploitation.
« 3 kg de RUMIPLUS équivaut à 1 kg de correcteur azoté ».
Ration hivernale :
Maïs ensilage : 16 kg
RUMIPLUS : 2 kg
Correcteur azoté : 3 kg
VL : 2 kg
Minéral : 250 g
Delta pH : 250 g
Smartamine
Il maintient le RUMIPLUS dans la ration d’été, à hauteur de 1 kg, pas pour son effet azoté, apporté par le pâturage mais pour son effet mécanique.
Samuel PANSART, technicien nutrition bovine TRISKALIA, accompagne Julien sur l’exploitation dans le suivi de la nutrition et de la complémentation.
« Avec des fourrages assez concentrés et assez riches en énergie, qui plus est sur une exploitation qui a besoin de produire beaucoup de lait », Samuel lui a recommandé le RUMIPLUS pour remplir son objectif de produire un maximum de lait sur un minimum de SFP.
« Avec du RUMIPLUS dans la ration, on peut atteindre des niveaux de production maximum en augmentant le correcteur sur des vaches que l’on veut pousser sans mettre la santé des animaux en péril. »
Attentif à l’équilibre financier de son exploitation, Julien raisonne ses 2 exploitations, laitière et maraichère, dans un bilan global. Si sa ration lui coûte assez chère (ensilage, peu de pâturage, beaucoup de concentrés), ramenée à la surface fourragère et aux revenus maraichers, Julien a une situation très compétitive par rapport à d’autres systèmes.
« Si on va encore plus loin, le RUMIPLUS a aussi une valeur de concentré avec sa valeur azotée, je répartis son coût sur 2 postes : 50% en fourrage et 50% en concentré. »
Ce qu’il attend du RUMIPLUS, c’est un brin coupé net et piquant pour faire ruminer les vaches. Une coupe homogène pour éviter les refus et qui se mélange bien avec l’ensilage de maïs.
A la tête d’une exploitation laitière avec un potentiel génétique important qu’il ne faut pas détériorer avec une alimentation mal coordonnée, Julien fait le choix d’un coût alimentaire élevé, mais avec la sécurité d’un troupeau en bonne santé et pérenne.
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Thierry SIMON est éleveur à Plabennec, petit village situé dans le Nord du Finistère, où il exploite une ferme en polyculture élevage avec un troupeau de 80 vaches allaitantes et 150 vaches laitières.
La ration semi complète pour ses vaches laitières est distribuée 1 fois par jour à la mélangeuse et repoussée 1 à 2 fois par jour.
Thierry utilise du RUMIPLUS depuis 15 ans, sur les conseils de son conseiller technicien en nutrition, comme remède à des problèmes d’acidose suite à l’augmentation de la production laitière.
« Après essai, j’ai trouvé une nette amélioration au niveau de la santé de mes animaux. Et depuis, je n’ai jamais arrêté ! »
Durant l’hiver, le RUMIPLUS représente une sécurité au niveau de la santé des animaux, Thierry ne rencontre plus de problèmes de pattes.
Glen ELLEOUET, technicien bovin TRISKALIA, le suit depuis 2 ans sur l’exploitation sur la partie nutrition.
« L’intérêt du RUMIPLUS est de ramener de la fibre structurante à la ration, qui est relativement digestible. L’idée est de maitriser les transits pour valoriser au mieux la ration. C’est pourquoi, le RUMIPLUS a toute sa place, notamment sur des rations hivernales. »
Ration hivernale :
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Une ration bien mélangée et homogène qui permet à la vache d’avoir une ration identique tout au long de la journée !
Il utilise également le RUMIPLUS sur les jeunes veaux à partir de 15 jours en complément d’une ration sèche à base de paille car cela favorise le développement de la panse.
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Pascal Van Den Berg élève 70 vaches laitières dans une exploitation familiale à Bettborn, au centre du Luxembourg.
Il s’est tourné vers le RUMIPLUS pour obtenir de la structure dans sa ration.
« Avant j’utilisais beaucoup la paille, mais elle est devenue beaucoup trop chère. Le RUMIPLUS est plus cher à l’achat mais dans la paille je n’ai pas de bêtacarotène, la paille n’apporte que de la structure ! »
Un autre avantage qu’il attribue au RUMIPLUS, il augmente les protéines dans le lait et aide à obtenir plus de matière grasse.
« Depuis 5 – 6 ans que nous utilisons du RUMIPLUS nous n’avons aucun problème d’acidose. Nos vaches sont toujours en bonne condition, elles vont facilement au robot, elles ne sont pas fatiguées ».
Pascal est très attentif à l’état de ses vaches, il ne les « force pas au dernier litre ». Pour le futur il veut « que ses vaches deviennent plus âgées et en bonne condition ».
« Mes vaches sont toujours en « top forme », ça n’est pas seulement à cause du RUMIPLUS mais il y contribue ».
Pour l’alimentation de son troupeau Pascal a fait le choix d’une nourriture sans OGM et RUMIPLUS s’inscrit dans cette démarche.
Pascal nous explique que la transition vers une alimentation non OGM a d’abord été difficile et plus couteuse. Les protéines non OGM, données au robot, étaient plus chères que les protéines conventionnelles. Mais aujourd’hui les prix ont baissé et permettent selon lui un équilibre. Et comme sa laiterie (Arla) incite financièrement (1 ct du litre en plus) les éleveurs qui utilisent une alimentation non OGM, pour Pascal c’est une façon de valoriser davantage son lait.
La ration annuelle: - 18 kg de maïs Werner Andres d’Agri – Produits accompagne Pascal dans le choix des aliments, selon lui le RUMIPLUS en faisant ruminer et saliver les vaches permet de lutter efficacement contre l’acidose. |
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Virginie JOSEPH est installé en GAEC avec sa mère près d’Avesnes sur Helpe dans le Nord de la France, son exploitation en polyculture élevage est composé de 278 hectares (dont 170 hectares de prairies) et d’un troupeau d’environ 550 têtes, 220 vaches laitières Holstein, 350 génisses de renouvellement, taureaux pour la reproduction et des broutards à l’engraissement.
Avec cette taille d’exploitation sur deux fermes, Virginie s’est équipée de 4 robots de traite relié par internet et géré par ordinateur.
Ration type
- 20 kg ensilage d’herbe
- 15 kg maïs ensilage
- 4-5 kg maïs épi
- Colza
Au moment du passage à la traite, le volume produit par chaque vache laitière est enregistré sur ordinateur, ce qui permet de calibrer le correcteur, composé de SLX 25 et de soja, sur la production
Par exemple : pour 25 kg de lait => 3,3 kg de SLX 25 + 1,7 kg de soja
Le SLX 25 est utilisé pour la ration des vaches laitières mais également pour l’engraissement des taurillons et l’alimentation des veaux, à partir de 3mois ½ - 4 mois, quand ils sont sevrés jusqu’à 8 – 9 mois, ils reçoivent du SLX 25 et du foin.
« Nous utilisons le SLX 25 parce que c’est un produit appètent et facile d’utilisation. »
Un produit « passe – partout » – qui sert également à l’alimentation des taurillons et des veaux
Le SLX 25 est un produit simple à base de drèche de blé, pulpe de betterave et luzerne que l’on utilise toute l’année. « On peut le réguler avec d’autres aliments mais c’est un produit simple, brut, qui n’évolue pas. »
C’est un produit que l’on peut acheter en vrac, par 25 t, ce qui permet d’avoir des prix compétitifs.
Avant d’utiliser le SLX 25, Virginie se servait du blé produit sur l’exploitation (blé aplati) mais la ration était irrégulière. Dès lors qu’elle a introduit le SLX 25, en remplacement du blé, la ration est devenue homogène, ce qui s’est vite ressenti sur la santé des vaches laitières avec moins de problème au niveau des pies des vaches (qui étaient enflés).
« On a moins de vache malade, comme le produit est régulier, on en remet pas, tout est bien homogène. »
Etant seulement deux personnes pour 550 bêtes, l’utilisation du SLX 25 leur a simplifié le travail.
« Le SLX c’est un produit simple, qui nous a simplifié la vie et qui nous a sécurisé. »